Poupi poupi poupi pou! Parce que je suis le plus mignon des McAlister { Toby

nom: McAlister prénom(s): Toby date de naissance et âge: 25.06.1992, il a 25 ans  lieu de naissance et nationalité: Né à White Oak et de nationalité américaine origines: Un petit milkshake moitié hispanique, moitié anglais statut social: Célibataire emploi/études: Travaille dans l’informatique mais tente de monter son entreprise dans tout ce qui est applications et jeux vidéos orientation sexuelle: Hétéro groupe: Head

  Anectodes: > 01. Etant le cadet d’une grande fratrie, Toby a toujours eu une éducation plus légère que ses frères et sœur, il suivait l'exemple qu'ils donnaient, tentant de leur ressembler.
02. Il a toujours été très intelligent, sa maîtresse de l’époque avait pu voir à quel point il comprenait très vite.
03. Il a toujours aimé écouté aux portes, étant de nature curieuse et voyant que ses frères avaient une vie trépidante il se cachait souvent pour écouter ce qu'ils faisaient.
04. Toby a été éduqué dans son enfance avec Disney, sa grande soeur lui en faisant écouté quand ils passaient du temps ensemble. (Et je ne dis pas ça parce que j'écoute du Disney en ce moment même )
05. Lorsqu'il était plus jeune, une grande brute à casser ses lunettes, ses parents ont été obligé d'aller voir les parents de ce dernier pour mettre les points sur les i.
06. Toby idolâtrait son père, il a mal vécu la mort de ce dernier. Pendant un moment,
il s'est enfermé dans les études, tentant de réussir, comme s'il avait besoin de se prouver quelque chose.
07. Toby a toujours tendance à être maladroit dans ses gestes, ce qui lui a valu une fois un bras cassé étant plus jeune.
08. Il s'endort toujours devant des films, il n'arrive pratiquement jamais à en finir un.
09. Devant les femmes, Toby n'est pas trop doué, non seulement il a toujours du mal à aller les voir, mais en plus de ça, quand il tombe amoureux, c'est toujours à 100% et il est arrivé que son petit cœur soit brisé à cause du fait que l'amour n'était pas réciproque.
10. Sans son café du matin, le jeune homme a toujours du mal à se réveiller, ce n'est pas un lève tôt du tout, s'il pouvait rester au lit, il le ferait.

A 6 ans, Toby était déjà un enfant intelligent, éduqué et bien instruit, il ne parlait pas souvent mais observait beaucoup, avec trois frères et une sœur plus âgé que lui, il avait de quoi apprendre assez rapidement, surtout avec sa sœur qui prenait son rôle d’ainé très à cœur. Il savait déjà lire, devait même porter des lunettes à son âge, ce qui avait couté une petite fortune à ses parents. C’est cette année-là qu’il rencontra cette petite fille aux cheveux bruns avec qui il s’entendit tout de suite. Elle venait d’arriver à White Oak en plein milieu de l’année scolaire, ne savait pas vraiment comment s’intégrer et pour la première fois depuis qu’il était à l’école, le petit garçon n’avait pas hésité à aller la voir alors qu’elle observait d’autres enfants jouer ensemble. Toby s’était donc approché, un petit sourire sur le visage et s’était assise à côté d’elle. « Tu veux jouer avec moi ? » Les yeux plein d’espoir, il ne cessait de la regarder en souriant. Timidement elle hocha la tête au grand bonheur du petit garçon. « Moi c’est Toby ! » Elle se sentait déjà un peu plus à l’aise face aux présentations. « Angelica. » La petite brunette se mit à sourire et d’un seul coup toucha l’épaule de Toby. « C’est toi le chat ! » Surpris, le jeune garçon ne s’était pas du tout attendu à ça mais ce jour-là, il découvrit ce que pouvait être l’amitié.

A 13 ans, Toby se mit à s’intéresser aux filles. Et plus particulièrement sur une fille en particulier, une fille de sa classe à qui il n’avait jamais vraiment adressé la parole. Et même si Angelica n’était pas dans la même classe que lui, elle était toujours aussi présente et lui avait conseillé d’aller lui parler, de ne pas hésiter à lui dire ce qu’il ressentait pour elle. Et dire que lorsqu’ils étaient enfant, Angelica était plutôt du genre réservé, maintenant on pouvait voir à quel point elle avait changé, à quel point elle avait confiance en elle pour aller vers les autres. Comme elle était plutôt apprécié des autres, Toby se disait qu’il pouvait écouter son conseil, habituellement elle en donnait toujours des bons. Alors il s’était lancé, il avait trouvé cette fille et lui avait dit ce qu’il avait sur le cœur. Il s’était vite trouvé devant un mur de glace. « Plutôt mourir que de sortir avec une tête de linotte dans ton genre. » Et elle s’était éclipsée, le laissant planté comme un con dans la cour, devant des yeux qui trouvaient la situation assez amusante. En rentrant à la maison, Toby s’était vite enfermé dans sa chambre pour n’en plus bouger, son petit cœur meurtri avait suffisamment souffert de cette humiliation. Inquiet de ne pas l’avoir vu en rentrant, son père décida d’aller le voir, d’habitude il venait dire bonjour et parlait de sa journée, ce qu’il ne trouvait pas tout à fait normal de le voir s’enfermer comme ça. Il toqua à la porte et l’entrouvrit doucement. « Toby ? Je peux entrer ? » L’adolescent, qui était allongé, soupira et s’assit sur son lit pour laisser de la place à son père, il n’avait pas envie de voir grand monde mais il se voyait mal de renvoyer son père alors qu’il était toujours là en cas de problème. « Vas-y… » Il entra et alla s’assoir sur le lit. « Quelque chose ne va pas ? » Toby hésita un peu avant de se confier, mais c’était son père, il pouvait surement tout lui dire. « Il y a cette fille à l’école… je lui ai dit que je voulais sortir avec elle et je me suis fait jeté… » En comprenant la situation, monsieur McAlister se mit à sourire de façon bienveillante. « Les filles… quand j’avais ton âge, elles m’ont aussi donné beaucoup de fil à retordre tu sais. Elles ne savent pas ce qu’elles veulent vraiment, elles sont très compliqué à comprendre tu vois, je crois qu’un livre ne pourra jamais nous aider à nous faire comprendre comment elles peuvent fonctionner mais c’est ce qui fait qu’une société comme la nôtre existe. Il y a ce genre de chose dans la vie qui nous pousse à aller plus loin mais il ne faut pas que tu sois triste qu’elle t’ait rejeté mon garçon, tu verras que plus tard, il y en aura une qui acceptera, il te faudra juste un petit peu de patience. » Toby pose son regard sur son père, il comprenait mais son égaux en avait pris un coup. « Ce qui te laisse encore du temps à passer avec ta précieuse Angelica, qu’est-ce que je deviendrais moi si je ne pouvais plus vous emmener au cinéma tous les deux ou ailleurs ? Je m’ennuierais à mourir. » Ca y est, Toby se mit à sourire, décidément son père avait le don pour lui remonter le moral, même si ce n’était pas grand-chose.

Les années ont passé, Toby a avancé dans ses études, passant toujours du temps avec sa sœur, comme ses frères petit à petit sont partis, et avec Angelica. Cette dernière et lui ne se sont jamais quittés, restant soudé pour la moindre chose qu’ils se passaient dans leur vie. C’est lors de sa dernière année à l’université qu’il a fallu qu’il se passe une chose à laquelle personne ne s’était attendu… la mort du père des McAlister. Une chose terrible qui les frappa tous de plein fouet, Toby était avec sa meilleure amie ce jour-là et quand il apprit la nouvelle, il eut l’impression que sa vie entière venait de basculer. Son père était tout pour lui, comme pour tous les autres et il se devait d’essayer de rester fort, de rester claire dans sa façon de penser pour que tout le monde reste debout, que personne ne s’effondre. Lors de l’enterrement il avait dû porter un costume grotesque de pingouin… il n’avait pas forcément envie d’assister à ces funérailles, ce qui voudrait dire qu’il devrait dire au revoir à son père, celui qui avait toujours été là et qui avait fait partie intégrante de leur vie avant de finir par mourir en cours de ses fonctions. Si seulement Toby avait pu l’empêcher, il l’aurait fait et il se sentait nul de n’avoir rien pu faire, et maintenant, il se disait que sa sœur allait prendre le relai, devenant à son tour flic, même s’il ne pouvait pas lui dire que c’était un mauvais choix car sa sœur était grande pour prendre ses décisions, il ne pouvait s’empêcher de penser qu’un jour peut-être il lui arriverait quelque chose. Et en voyant tous ces gens qui étaient là pour son père, il eut l’impression d’avoir le cœur qui se serrait encore plus, surtout lorsqu’il avait vu ses frères, il ne les voyait pas souvent mais cela lui fit plaisir de les voir. Et comme toujours, malgré la distance qui pouvait les séparer, ils étaient toujours là les un pour les autres, l’accolade qui suivit le montrait bien et donna un peu de chaleur malgré la tristesse du moment.

« Oh allez ! Tu resterais bien encore un peu avec moi ! Je dois absolument finir ma partie de InFAMOUS, je n’y arrive pas, tu es le seul à pouvoir m’aider Toby ! » Le jeune homme posa un regard à sa meilleure amie, un sourire victorieux sur les lèvres alors qu’elle le suppliait. « Tu vois, tu auras toujours besoin de moi, ce n’est pas exactement ce que tu disais tout à l’heure quand tu m’as gueulé dessus alors que je n’avais pas levé la lunette des toilettes et de mon incapacité à penser aux dames. » Depuis qu’ils étaient en colocation tous les deux, il ne se passait pas un seul jour où ils ne se disputaient pas pour des petites broutilles. Angelica soupira. « Bon d’accord ! Je regrette d’avoir dit ça ! Aide moi je t’en prie !!! Et je ferais la vaisselle toute la semaine ! » Il se mit à rire avant de poser sa veste sur le dossier du canapé et de s’assoir. « D’accord, je reste un peu pour t’aider avec cette mission, mais après je dois aller aider ma mère pour le repas de tout à l’heure. Tu devrais en faire autant avec tes parents. » Il lui fit un clin d’œil mais elle lui frappa l’épaule. « Si je les aide la fête sera gâcher, ils n’aiment pas que je sois dans leur patte, je préférais à la rigueur venir dans tes pattes pour t’embêter. » Toby savait bien comment était la famille de son amie, ils la laissaient trop en liberté et ne lui prêtait pratiquement jamais d’attention. « La prochaine fois tu le feras avec plaisir. » Il mit la mission en route…

Plus tard, le jeune McAlister parti rejoindre sa famille et là ce fut le choc total. Leur mère venait de leur annoncer avec un calme olympien qu’elle s’était marié lors d’une croisière. Toby en resta complètement interdit, comment elle avait pu se marier sans eux ? Sans leur demander leurs avis ? Même s’ils étaient grands et qu’ils n’avaient plus besoin de leur mère pour diriger leur vie, ils avaient quand même le droit d’être au courant de ce genre de chose, avant que cela n’arrive non ? Toutes les questions tambourinaient à la tête du cadet de la famille, se demandant pourquoi elle avait fait ça alors que cet évènement, ils auraient dû tous y assister. Alors que Briséis tentait de calmer Graham, il regardait attentivement autour de lui, même s’il voyait bien que sa sœur n’était pas forcément en accord avec tout ça, elle respectait la décision de leur mère. Lui aussi, même s’il aurait aimé qu’elle leur en parle avant de faire les choses. Il ne sait pas trop quoi en penser pour l’instant, il ne connaissait pas du tout cette famille qui venait de se retrouver mêler à la leur et il ne savait pas s’il en avait vraiment envie… pour l’instant, il devait digérer cette information, voir ce que ça allait donner. A voir plus tard, peut-être qu’en les rencontrant, tout changerait et pour le bien de tous. Leur mère avait bien le droit à du bonheur dans sa vie.

Le jeune homme rentra donc chez lui après cette soirée mouvementée, il n’en revenait toujours pas de cette révélation, mais sa mère avait l’air tellement heureux. En tous les cas, il devait absolument en parler à sa meilleure amie, mais elle ne serait peut-être pas rentrer à l’heure qu’il est. Sauf que lorsqu’il entra la clé dans la serrure et qu’il ouvrit la porte, il se retrouva devant un spectacle assez…. gênant. « Angelica ? Mais qu’est-ce que tu fais ? » Elle était sur le canapé, en sous vêtement et sous un mec qui ne portait sur lui qu’un caleçon. En l’entendant arriver ils sursautèrent tous les deux avant de se relever. « Toby ? Désolé… je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt… » La jeune femme était très gêné d’avoir été trouvé ainsi par lui. L’inconnu les regardait tous les deux et parut en colère. « Tu m’avais pas dit que tu avais un mec ! » Il commença à prendre ses affaires pour partir. « Ce n’est pas mon petit ami, attend, reviens ! » L’homme s’en alla sans l’écouter et Toby observa sans faire exprès la poitrine de sa meilleure amie avant de défaire le regard, se mettant à rougir. « Hum… je crois que je vais aller me coucher… j’en ai assez vu et entendu pour ce soir. » Toby ne savait pas vraiment pourquoi il réagissait comme ça, c’était juste sa meilleure amie mais lorsqu’elle avait dit qu’il n’était pas son petit ami, comme si elle le rejetait, cela lui avait fait mal et pour éviter une dispute qu’il regrettait surement, il préférait partir se coucher, il avait suffisamment eu sa dose ce soir pour réfléchir à quoique ce soit.